Aide au travail de la police ou «contrôle des populations» ? Briefcam, un logiciel de vidéosurveillance controversé

Extrait :

En réalité, la question de la reconnaissance faciale n’est pas centrale dans cette affaire car «elle est strictement interdite en France et en Europe. Dans le dossier Briefcam, il y a un cadre légal particulièrement strict qui impose des lignes rouges infranchissables lorsqu’une commune souhaite s’équiper de ce logiciel», indique au Figaro Oriana Labruyère, avocate et directrice du cabinet La Robe Numérique, qui a notamment défendu les communes de Moirans, de Trouville-sur-Mer et de Deauville (Calvados) dans le dossier Briefcam.

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